Contexte et faits
À Genève, le 12 juillet 2024, une policière est grièvement blessée dans le parc Russe à la suite de la rupture d’une branche d’un saule pleureur. Cette chute a entraîné des fractures au pied et une hospitalisation d’un mois, suivie d’une longue rééducation.
Éléments de procédure et observations
Selon la justice genevoise, les services de la Ville de Genève n’ont pas été jugés négligents dans l’entretien du parc par rapport à cet accident. Le Ministère public a refusé d’entrer en matière sur la plainte déposée par l’agente, se fondant sur les expertises qui indiquent que le saule pleureur concerné avait fait l’objet d’un entretien régulier.
La Tribune de Genève précise par ailleurs qu’aucun signe de dépérissement ni de fragilité du bois n’était observable au moment de l’accident.
Décision de la Chambre pénale de recours
Saisie par la policière, la Chambre pénale de recours a confirmé ces conclusions: la chute de la branche n’est pas imputable à un manque d’entretien ou de surveillance de l’arbre.